C'est parfois le problème de l'afterwork, on ne choisit pas son créneau, et en l'occurrence on est arrivés au moment où le temps devenait menaçant. Il restait bien du vent à l'ouest, mais ça semblait risqué de s'y aventurer avec l'orage qui pointait.
Dommage, d'autant que les afterworks ne vont plus être possibles jusqu'au printemps !